One more thing that could help you to start to live green is to begin walking a bit more. Lots of people routinely drive short distances merely to buy one thing at their local corner market. If you just walk to the store, it can take less time, because you won’t have to locate a parking spot, but you will be saving money on gas and helping to save …
Avant de partir en vacances
Contrôler les niveaux de la voiture : indispensable avant de partir en vacances
Pour que toutes les pièces mécaniques de la voiture fonctionnent correctement, il faut utiliser différents types de liquides. Il convient de vérifier le niveau de chaque réservoir 2 à 3 fois par an, ou avant chaque long trajet. Les principaux niveaux de liquide à vérifier sont :
- Le niveau d’huile moteur : l’huile moteur assure la lubrification des différentes pièces du moteur. Il convient donc d’avoir un niveau d’huile suffisant avant de prendre la route des vacances en voiture.
- Le niveau de liquide de refroidissement : en fonctionnant, le moteur a tendance à chauffer. Comme son nom l’indique, le liquide de refroidissement intervient pour empêcher la surchauffe.
- Le niveau de liquide de frein : ce liquide en quantité suffisante garantit un bon freinage. Si vous remarquez un niveau anormalement bas, cela peut annoncer une fuite ou l’usure des plaquettes de freins. Rendez-vous chez un garagiste pour un contrôle plus complet.
- Le niveau de liquide lave-glace : le liquide lave-glace permet de nettoyer le pare-brise et d’avoir une bonne visibilité sur la route. À ne pas négliger.
Ces produits sont vendus dans la plupart de vos stations-service Total, n’hésitez pas à nous demander conseil lors de votre prochaine visite.
Si faire les niveaux de votre voiture avant un long trajet vous fait peur, n’hésitez pas à vous rapprocher d’un garagiste qui saura facilement identifier les différents réservoirs et les remplir, si besoin.
La voiture dopée par les gaz d’échappement
A l’heure où tous les constructeurs de moteurs thermiques essayent de limiter les émissions de CO2, c’est peut-être une technologie de la fin du XIXe siècle, le gazogène, qui va venir à leur secours. Mais dans le procédé mis au point par ReCO2, point d’encombrante chaudière à bois et autre épurateur. Le CO2 est prélevé dans les gaz d’échappement, concentré, transformé en CO (le gaz à l’eau de nos bons vieux gazogènes) dans un catalyseur et envoyé vers l’admission d’air du moteur, qu’il s’agisse d’une version essence ou diesel. Du coup, la consommation en carburant baisse de 25 % et les émissions de CO2 diminuent de 30 %, alors que la puissance du moteur ne chute que de 3 %. On peut véritablement parler de recyclage du CO2.
« Il ne s’agit pas d’un miracle, mais de l’application astucieuse de hautes technologies connues par ailleurs dans le monde de la pétrochimie », rassure Jacques Benzaria, l’inventeur du procédé, ancien chercheur à l’IFP qui a quelques brevets à son actif, comme ceux liés au recyclage des bouteilles en PET.